Ni paresse, ni lenteur : trouver son rythme
Le rythme de vie est une chose essentielle que nous sacrifions trop souvent au profit de la course permanente à la "performance" et à "l’efficacité".
Malheureusement, c’est souvent un leurre et, sur le long terme, le résultat est, au mieux une dégradation des performances, quand cela n’amène pas au burn-out.
N'existe-t-il pas une autre voie pour faire autant en respectant son rythme ?
Citius, Altius, Fortius : Plus vite, plus haut, plus fort
Cette devise des Jeux olympiques, proposée par Pierre de Coubertin à la création du comité international olympique en 1894, mais dont la paternité revient à Henri Didon, prêtre dominicain et proviseur du lycée Albert le Grand d’Arcueil, qui en 1891, exhortait ses élèves à cultiver leur jeunesse dans la pratique sportive, reflète ce qui est trop souvent "demandé" par le monde du travail à la majorité d’entre nous
Mais vouloir appliquer constamment un rythme trop élevé, c’est oublier une phase essentielle de la progression sportive : la phase de récupération. Nous ne sommes pas des machines conçues pour fonctionner à plein régime de façon permanente.
Paradoxalement, l’usure morale et physique qui découlent de cet oubli ont, non seulement de graves répercussions sur l’organisme, mais elles entrainent également une très forte diminution de ces performances après lesquelles nous courrons. On rentre alors dans un cercle vicieux, ou plutôt une spirale qui nous aspire vers le bas et dont on connaît l’issue : le burn-out.
Bien #burnout #entreprise #exercice #lestress #lesrisquespsychosociaux #pratique #relaxation #santé #sophrologue #stress #stressauboulot #stressautravail
https://www.relaxationdynamique.fr/paresse-lenteur-trouver-rythme/
Le rythme de vie est une chose essentielle que nous sacrifions trop souvent au profit de la course permanente à la "performance" et à "l’efficacité".
Malheureusement, c’est souvent un leurre et, sur le long terme, le résultat est, au mieux une dégradation des performances, quand cela n’amène pas au burn-out.
N'existe-t-il pas une autre voie pour faire autant en respectant son rythme ?
Citius, Altius, Fortius : Plus vite, plus haut, plus fort
Cette devise des Jeux olympiques, proposée par Pierre de Coubertin à la création du comité international olympique en 1894, mais dont la paternité revient à Henri Didon, prêtre dominicain et proviseur du lycée Albert le Grand d’Arcueil, qui en 1891, exhortait ses élèves à cultiver leur jeunesse dans la pratique sportive, reflète ce qui est trop souvent "demandé" par le monde du travail à la majorité d’entre nous
Mais vouloir appliquer constamment un rythme trop élevé, c’est oublier une phase essentielle de la progression sportive : la phase de récupération. Nous ne sommes pas des machines conçues pour fonctionner à plein régime de façon permanente.
Paradoxalement, l’usure morale et physique qui découlent de cet oubli ont, non seulement de graves répercussions sur l’organisme, mais elles entrainent également une très forte diminution de ces performances après lesquelles nous courrons. On rentre alors dans un cercle vicieux, ou plutôt une spirale qui nous aspire vers le bas et dont on connaît l’issue : le burn-out.
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