Addictions et sophrologie
Les typologies d’addictions sont nombreuses et toutes engendrent, à plus ou moins long terme, des conséquences qui peuvent se révéler catastrophiques d’un point de vue physique ou psychologique. La sophrologie permet de lutter contre certaines addictions comme les addictions alimentaires, le tabac et autres addictions mineures.
L’utilisation de la sophrologie ne peut s’envisager, seule, que pour des addictions « mineures » (alimentaire, dépendance à internet, au travail, à l’information, collectionnite…) qui relèvent des « toxicomanies sans drogue » définies par Otto Fenichel (1897-1946) dans les années quarante.
Les addictions plus graves (substances chimiques, alcool, jeux…) ou les addictions à un stade avancé, n’entrent plus dans le cadre de la sophrologie. Elles appartiennent au domaine exclusif de la médecine et des thérapeutes. La sophrologie ne pourra être envisagée qu’après la phase de sevrage, comme soin d’accompagnement, et sous le contrôle du corps médical.
Qu’est-ce que l’addiction
Si le terme d’addiction semble nous venir de l’anglais " to be addict ", qui signifie " s’adonner à ", son origine remonte bien plus loin et prend sa source dans le latin " ad-dicere " qui évoque la relation de dépendance et de subordination entre maître et apprenti. Cette relation de subordination a donné, dans le latin tardif, le " addictio " utilisé par le droit Romain et qui signifie « contrainte par corps » : donner son corps en remboursement d'une dette.
On #addiction #Confianceensoi #exercice #lasophrologie #pratique #relaxation #sophrologie
https://www.relaxationdynamique.fr/addictions-sophrologie/
Les typologies d’addictions sont nombreuses et toutes engendrent, à plus ou moins long terme, des conséquences qui peuvent se révéler catastrophiques d’un point de vue physique ou psychologique. La sophrologie permet de lutter contre certaines addictions comme les addictions alimentaires, le tabac et autres addictions mineures.
L’utilisation de la sophrologie ne peut s’envisager, seule, que pour des addictions « mineures » (alimentaire, dépendance à internet, au travail, à l’information, collectionnite…) qui relèvent des « toxicomanies sans drogue » définies par Otto Fenichel (1897-1946) dans les années quarante.
Les addictions plus graves (substances chimiques, alcool, jeux…) ou les addictions à un stade avancé, n’entrent plus dans le cadre de la sophrologie. Elles appartiennent au domaine exclusif de la médecine et des thérapeutes. La sophrologie ne pourra être envisagée qu’après la phase de sevrage, comme soin d’accompagnement, et sous le contrôle du corps médical.
Qu’est-ce que l’addiction
Si le terme d’addiction semble nous venir de l’anglais " to be addict ", qui signifie " s’adonner à ", son origine remonte bien plus loin et prend sa source dans le latin " ad-dicere " qui évoque la relation de dépendance et de subordination entre maître et apprenti. Cette relation de subordination a donné, dans le latin tardif, le " addictio " utilisé par le droit Romain et qui signifie « contrainte par corps » : donner son corps en remboursement d'une dette.
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