La déconnexion digitale partielle comme nouvel art de vivre ?
Temps de lecture estimé : 6 minutes
La nécessité de déconnexion digitale peut sembler étrange dans cette période où, confinement oblige, nous vivons une grande partie de nos activités en ligne.
En dépit des constats et autres études sur les effets de cette connexion digitale permanente sur nos esprits, tout nous encourage à rester connecter.
Les outils sont accessibles, les réseaux plus rapides, le télétravail, les services, les achats...
Heureusement, la vie réserve de belles surprises qui remettent en question nos habitudes.
Il y a quelques mois, j'ai découvert "Mes petites routines : sophrologie pour se recentrer sur soi" de Florence Parot. Curieuse d'approfondir un sujet, j'ai écrit à Florence pour lui poser une question.
La réponse automatique que j'ai reçue dans les secondes qui ont suivi a créé le déclic. Trois phrases toutes simples qui ont conforté ma certitude qu'il est possible de rompre avec cette hyper connexion digitale :
Je me connecte désormais 3 fois par semaine, généralement les lundis, mercredis et vendredis après-midi. Je gère mon temps de connexion au mieux pour être plus présente en face à face quand vous venez me voir et appliquer mes propres principes ! Je reviendrai vers vous le plus rapidement possible.
Connaissant les nombreuses activités de Florence, je me suis demandé comment elle arrivait à assumer ce choix. J'ai lui ai demandé de partager avec nous ce chemin et les raisons qui l'ont amenée à entamer cette déconnexion.
https://bit.ly/3nkbWNr
Temps de lecture estimé : 6 minutes
La nécessité de déconnexion digitale peut sembler étrange dans cette période où, confinement oblige, nous vivons une grande partie de nos activités en ligne.
En dépit des constats et autres études sur les effets de cette connexion digitale permanente sur nos esprits, tout nous encourage à rester connecter.
Les outils sont accessibles, les réseaux plus rapides, le télétravail, les services, les achats...
Heureusement, la vie réserve de belles surprises qui remettent en question nos habitudes.
Il y a quelques mois, j'ai découvert "Mes petites routines : sophrologie pour se recentrer sur soi" de Florence Parot. Curieuse d'approfondir un sujet, j'ai écrit à Florence pour lui poser une question.
La réponse automatique que j'ai reçue dans les secondes qui ont suivi a créé le déclic. Trois phrases toutes simples qui ont conforté ma certitude qu'il est possible de rompre avec cette hyper connexion digitale :
Je me connecte désormais 3 fois par semaine, généralement les lundis, mercredis et vendredis après-midi. Je gère mon temps de connexion au mieux pour être plus présente en face à face quand vous venez me voir et appliquer mes propres principes ! Je reviendrai vers vous le plus rapidement possible.
Connaissant les nombreuses activités de Florence, je me suis demandé comment elle arrivait à assumer ce choix. J'ai lui ai demandé de partager avec nous ce chemin et les raisons qui l'ont amenée à entamer cette déconnexion.
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